木曜日, 9月 14, 2006

La fin est proche

Lundi 11/09, une fois de plus dans le terminal de l'aéroport de Shanghai...

Dernier week end, pas foultitude à raconter.

Samedi, j’ai dormi, et j’ai clubbé, pour profiter une dernière fois de ce nomihoddai qui fait la particularité du PURE...
Encore l’occasion de parler japonais, mais aussi portugais et anglais.
Je ne m’aventurerais pas dans les détails de toute la soirée, mais j’ai déjà mal commencé puisqu’ayant raté le dernier train à quelques secondes prêt, j’ai du demander à un taxi de me déposer quelques gares plus loin afin de récupérer le train...
J’ai trouvé des français qui venaient d’arriver sur Osaka pour un an d’études (un an à Osaka, ça doit être sacrément plaisant !) et auxquels j’ai transmis une partie des mes astuces à la castor junior...
Ils étaient chauds comme la braise, sans doute l’arrivée récente, et ont engagé la conversation avec les premières japonaises de fort beau gabarit qui leur sont passées sous le nez. Malheureusement pour eux, une fois dit bonjour, c’est moi qui aie continué en japonais, car elles ne touchaient pas un mot d’anglais. Et malheureusement pour moi, un gaijin qui rentre chez lui le surlendemain, ça n’intéresse pas beaucoup les locales. Au petit matin, j’ai découvert l’emplacement d’une autre boite en suivant des japonaises qui voulaient aller danser dans un autre endroit, mais finalement l’endroit ou elles pensaient aller était fermé. J’ai donc rejoint le métro le plus proche pour rentrer et y ai bavardé avec 2 ukrainiennes et une russe (popopopop !!), que du beau monde. Puis comme à mon habitude, j’ai été réveillé au terminus du train (cette fois par une fille charmante, et pas un contrôleur), et comme souvent le dimanche matin au mauvais terminus. J’ai donc refais la ligne dans l’autre sens pour enfin aller me coucher, aux alentours de 10/11h.

Réveil, vers 15/16h, à la fraiche... et je suis parti faire un peu d’emplettes autour de Namba, sans beaucoup de réussite. Par contre j’ai fait des découvertes bizarres.
Il existe au Japon des magasins qui ne vendent que des chaussettes, et il y en a plusieurs dans la principale rue commerçante d’Osaka... En France, on associe plutôt chaussette à mauvaise odeur, au Japon c’est un accessoire de mode comme un autre.
J’ai aussi vu une enseigne d’une bijouterie, Japan Masters Diamond ou un truc comme ça, avec en dessous la mention « DTC authorized » (cet anecdote ne s’adresse qu’à un public averti ;D ).

En rentrant, préparation des bagages jusqu’à 2h du matin, le tout en réussissant à me lever dans les temps, vers 8h et des brouettes, ce qui après avoir fini de ranger un peu tout le bordel ambiant, me permet d’être à l’aéroport vers 10h. A nouveau des emplettes, cette fois-ci avec plus de succès.
Une partie de la suite a déjà été détaillée dans les post précédents, mais il en manque des bouts. Une fois le ventre plein j’ai pu aller attendre mon avion à la porte d’embarquement. Et juste sur le fil, alors que je m’apprêtais à embarquer, Yuri pointe le bout de son nez, pour venir me dire au revoir. Même si pour diverses raisons, surtout le fait que je m’en aille et que je ne repasse pas à Osaka avant un bout de temps, on a décidé de rester amis uniquement, cette apparition fait sacrément plaisir. Elle a réussi à prendre sa pause (elle bosse pour Japan AirLines) juste au bon moment.

J’ai ensuite eu droit à un vol assez pépère, dans un A320, et j’étais le « Mr porte de secours ». Etant donc assis juste à coté d’une porte de secours de l’appareil, après avoir lu une notice de sécurité spéciale pour moi, et après avoir accepté de faire mon David Hasselhof en cas de problème nécessitant l’ouverture de ma voisine métallique, j’avais droit à quelques privilèges. Et pas des moindres !! Une jolie hôtesse assise en face de moi pendant tout le décollage et l’atterrissage, ainsi qu’un mètre cinquante de libre devant moi pour étendre mes jambes...

Après, Shanghai, temps de merde, tout le monde parle chinois et je comprends rien, je me retrouve à passer à la douane juste après moult gens arrivés par un autre avion juste avant moi, notamment une bonne pelleté de ricains dodus. Par la suite, rien de bien méchant, j’ai quand même eu droit à une hôtesse d’accueil qui paye son rot pendant qu’elle essaie de me répondre en anglais pourri, et une autre qui va cracher une grosse huitre dans une poubelle. Et c’est sans oublier autres rots et gros raclement de gorges de leurs compatriotes masculins. Au Japon, on a droit aux raclements de gorge de temps en temps aussi, mais là ya pas à dire, les chinois(es), vraiment pas très classes...

Désolé pour ce moment poétique particulièrement poussé, mais c’est la triste réalité !

Encore 2 heures à attendre, ma batterie se meurt, j’aurais pu au moins écrire 3 articles. Reste maintenant 2 ou 3 flashback à effectuer...

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