日曜日, 8月 13, 2006

La soirée que elle coute cher !

Après le boulot je suis donc allé en train jusqu’à Tennoji, accompagné de Umeda, Kawaguchi et Anime-man. En changeant à Nakamozu pour prendre le métro, on a profité des tickets métro illimité 24h que les gens qui rentrent du boulot laissent gracieusement sur les distributeurs de billets pour qui veut bien les prendre.

On monte au 15ème étage d’un immeuble pour se rendre au Budweiser café (pas très japonais tout ça). On est donc une tablée d’une bonne quinzaine prête à profiter du repas bien complet et du nomihoddai. Les serveuses sont vraiment de sacrées jolies minettes. Toutes avec des mini-jupes moulantes laissant apparaitre des jambes de déesses. Elles n’étaient pas toutes splendides mais en tout cas elles étaient toutes très sexy.
Au menu un tas de trucs intéressants, et je ne me suis pas privé pour me remplir la panse à souhait. J’ai pu pour la première fois communiquer un peu avec le big boss, Inoue-san, qui était installé juste à mes cotés. C’était bien marrant de le voir réchauffé à l’éthanol, car il parlait que en anglais à ce moment là. Il a demandé à tout le monde de me parler en anglais, car l’anglais c’est selon lui la langue des gros keums.
Il m’a aussi demandé quel était la serveuse que je préférais, et quand lui ai montré Yumi, avec qui j’avais discuté quelques minutes plus tôt, il lui a direct balancé « He likes you !!! ».
Il m’a raconté qu’après les vacances 3 étudiants de Tohoku University venaient faire un stage de 2 semaines dans l’entreprise... s’ils font la même chose que moi mais que pendant 2 semaines ils vont apprendre des tas de trucs...

Petite anecdote bizarre du soir, je me suis fait casser un œuf sur le front par une jolie serveuse, qui ensuite a enlevé la coquille et me l’a fait manger en une fois. Sans doute que ça doit secouer les hormones des japonais tout ça, il doit y avoir un fantasme généralisé des hommes à se faire donner la becquée, vu la mine ravie qu’avaient les autres qui y ont eu droit. Il m’en faut un tantinet plus que ça pour m’émoustiller.
En partant j’ai laissé mon numéro et mon mail à Yumi, sans espérer grand-chose, mais après ça mes collègues m’ont appelé "girl hunter" (avec l’accent japonais ça donne gaaru hantaa).

Tous les japonais se sont marré en voyant cette photo... je sais pas si Ohgaki-san se rappelle de ça!

"je sais plus son nom"-san avait le feu sacré après le nomihoddai

Après cette photo: no more battery, l'appareil n'a plus servi...


On est reparti pour un after à Namba, pour en fait rejoindre une autre bande de kaisha-in qui avaient fait une soirée dissidente dans une autre izakaya. Là certains collègues semblaient déterminés à me ce que je conclue avec Kinosada-san, mais leur discrétion était vraiment marrantes à voir : du genre la montrer du doigt alors qu’elle est à 2 mètres, ou encore me prendre mon appareil photo pour la prendre en photo... vraiment ridicule.

Retour maison dans un convoi de taxis... qui m’a encore délesté de quelques yens. Si j’avais su je serais resté dormir quelques heures dans Osaka en attendant le premier train.

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